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⊱♥⊱╮ღ꧁ Nos Enfants ꧂ღ ⊱♥≺
MON ENFANT EST AGRESSIF, TAPE, MORD…
“Un jeune enfant qui tape, qui mord, qui griffe,
Qui pince ou qui tire les cheveux d’un autre enfant,
Ou même d’un adulte,
N’est ni méchant, ni violent, ni sadique,
Ni un futur acolyte de la trilogie
Cinquante nuances de Grey.
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Car il n’a ni l’intention ni la compréhension
De faire mal à l’autre.
Il n’a pas réellement conscience de l’impact
De ses actes et de ses comportements sur l’état émotionnel
De son interlocuteur.
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Et ce, jusqu'à l’âge de 4 ans environ. (Heloïse Junier)
La cause principale de cet accès de violence
Instinctif est une décharge
De pulsion liée à un trop-plein de stress,
Une excitation positive
(“La peau de cette petite fille est douce !”)
où négative (“Il m’a piqué mon jouet.”).
C’est son corps qu’il utilise pour cela,
Car il n’a pas encore accès au langage
Pour exemple dire qu’il est en colère.
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Beaucoup d’adultes réagissent encore ainsi !
Une autre raison à ce comportement
Est un désir exprimé maladroitement
De rentrer en contact avec les autres enfants.
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Enfin, notons qu’un besoin insatisfait
Déclenche une émotion désagréable
Et de la tension qui submergent le cerveau
Immature de l’enfant
(l’amygdale cérébrale s’active.).
L’enfant a peut-être faim, soif,
Besoin de repos, de calme, d’affection, d’attention, …
COMMENT RÉAGIR ?
Dire STOP au lieu de non :Afin d’éviter la confusion sur le “non”
Utilisé dans d’autres circonstances,
Mieux dire STOP fermement (et sans crier)
(voir cet article) ne pas tomber
Soi-même dans l’agressivité
Contagion dangereuse et un mauvais modèle
(je me montre agressif pour que tu cesses d’être agressif.)
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Rester bienveillant et empathique :
La meilleure réponse à l’agressivité
Est la douceur et la bienveillance,
Car l’ocytocine qui est alors sécrété calme
Le cortisol (stress) et reconnecte le cortex préfrontal de l’enfant.
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Évoquer l’émotion ressentie par autrui suite à l’acte de violence(mais sans le culpabiliser).
Ce sont là les conséquences naturelles
Qui éveillent l’empathie de l’enfant et forment
Peu à peu sa réflexion.
Anticiper :Si les actes de violence se répètent,
Analysez le contexte récurrent et prenez
Des dispositions pour anticiper.
Par exemple :
L’enfant après une journée éloignée de ses parents
À un besoin presque immédiat
De contacts bienveillants, d’écoute, de jeu, … Ou de repos.
Évitez les étiquettes :“méchant”, “violent”, “psychopathe”
(déjà entendu !) :
Ces étiquettes figent des états alors qu’en se concentrant
Sur le comportement
(plutôt que la personne), on laisse la chance de changer.
Préparer l’enfant :Grâce à des supports tels que des roues de la colère
Ou des alternatives à la violence, l’enfant
S’exerce à remplacer la violence physique
Par des alternatives pacifistes
(avant de parfaitement verbaliser son ressenti).
JEUX DANGEREUX
Vous avez tous parlé à vos enfants des dangers de la route,
De l’alcool, du tabac, de la drogue…
Mais il est plus difficile d’évoquer avec eux
Le sujet des jeux dangereux
De peur de susciter leur curiosité.
Loin des jeux traditionnels comme le chat perché ou l’épervier,
Les « jeux » dangereux sont des pratiques violentes où les enfants
Se font ou font subir aux autres différentes douleurs.
Même les plus jeunes sont concernés par ce phénomène.
Il en existe différentes sortes :
les « jeux » de non-oxygénation
Et les « jeux » D’agression
Dont l’objectif est de faire mal physiquement et gratuitement.
Certains enfants participent de leur plein gré à ces jeux,
Mais d'autres enfants subissent cette violence.
Les enfants se mettent souvent en danger sans en avoir
Réellement conscience.
Évidemment, ces comportements peuvent avoir des conséquences
Au niveau de la santé.
N’hésitez plus à en parler à vos enfants !
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